Le scandale de l’établissement scolaire Notre-Dame de Bétharram remet sur le devant de la scène les violences faites aux enfants. Il y a aujourd’hui plus d’une centaine de plaintes et les faits s’étalent sur plusieurs décennies. Nous devons prendre en compte dans nos luttes féministes ces violences contre les enfants car elles sont aussi le produit terrible du patriarcat. Il faut briser la loi du silence, refuser d’être complices de ces agressions et être solidaires des victimes.