« Il y a une stratégie de lutte à mettre en place. Si le gouvernement a reculé en parole grâce à la manif de l'éducation du 13 janvier, pour qu’il y ait des actes, il faut pousser beaucoup plus fort. C’est pour ça que la nouvelle journée d’action du 20 janvier est justifiée. Et elle fait le lien avec la mobilisation de la semaine prochaine, celle du 27 janvier qui regroupera le secteur public et le secteur privé. Là aussi sur un fond de contestation de la gestion de la crise sanitaire et d’absence d’un politique de santé publique. »