Le porte-parole du NPA Olivier Besancenot, sur LCI : "On est en deçà de ce qu'il faudrait, c'est le rendez-vous manqué de l'Europe. Aujourd'hui ce qu'il faudrait, c'est remettre en cause ceux qui sont responsables de la crise, c'est-à-dire les spéculateurs, annuler clairement la dette grecque et puis on serait en droit d'espérer qu'on substitue enfin à la Banque centrale européenne (BCE) un service public européen unique qui ait le monopole du crédit et qui prête de l'argent, mais pas pour spéculer dessus".