Au soir et au lendemain d’un 1er Mai avec des niveaux de mobilisation historiques, le personnel politique et médiatique de la bourgeoisie était en boucle : toutE représentantE de la gauche sociale et politique était sommé de « condamner les violences ». Une grossière manœuvre, et surtout une question : mais de quelles violences parle-t-on exactement ?