Pas de retrait, pas de paix. C’était l’esprit de la journée du 6 juin qui, sans surprise, et même si des centaines de milliers de personnes ont une nouvelle fois manifesté avec colère et détermination, a été la moins massive des journées de mobilisation contre la réforme des retraites depuis le 19 janvier. Mais que le gouvernement ne s’y trompe pas, ce souffle de colère laissera des traces bien après les « 100 jours ». Il n’y a et il n’y aura pas d’apaisement, ni le 14 juillet ni après. Car tout montre que la crise politique ouverte est loin d’être refermée.
Face à la crise politique qui s’approfondit et à l’extrême droite qui attend son heure, il devient urgent de construire un force politique anticapitaliste, révolutionnaire, radicale, unitaire et démocratique. Tout ce à quoi le NPA s’attèle, et s’attèlera dans les semaines et les mois qui viennent !